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Comment enfin surmonter la peur du jugement des autres

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Comment se débarrasser de la peur du jugement des autres? Il faut d’abord comprendre que les gens qui jugent projettent leurs propres insécurités sur les autres. Ensuite, on peut défaire ses croyances et gagner de l’estime de soi. Ces exercices pratiques vont t’aider à changer les patterns qui t’empêchent d’être toi-même.

EXERCICES: Les exercices à compléter se retrouvent en référence à la fin de chaque section qui lui est associée, dans les blocs gris comme celui-ci.

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CONTENU DE CET ARTICLE
– La conséquence destructrice de la peur du jugement des autres
– Comprendre la peur du jugement des autres (exercice #1)
1. La peur du jugement des autres: un mécanisme de survie mésadapté (exercice #2)
2. D’où vient vraiment le jugement (exercice #3)
3. L’empathie pour affronter la peur du jugement des autres
– Vaincre la peur du jugement des autres
1. Le sentiment d’être inadéquate (exercice #4)
2. Le sentiment d’être stupide (exercice #5)
3. Comment réagir au mansplaining: une opinion controversée
4. La face cachée derrière la peur du jugement (exercice #6)
– Conclusion: Les principes clés à retenir

La conséquence destructrice de la peur du jugement des autres

La peur du jugement des autres empêche d’être soi-même.

Quand on a peur d’être rejeté pour qui nous sommes, on supprime notre vraie nature. Souvent, on se crée même une double personnalité. On ne se permet pas de se montrer sous son vrai jour. Ça fonctionne à court terme; on s’adapte à son environnement. Mais c’est très nocif à long terme. Faire semblant tout le temps draine énormément de l’énergie.

Quand on n’est pas conscient de sa propre valeur, on laisse les autres en décider. On croît, à tort, que le jugement des autres est une réflection juste de notre valeur. Alors, on est très sensible à ce que les autres pensent de nous.

Concrètement, on peut être très susceptible et réactif. Ou alors, on peut se refermer et s’isoler. La réaction dépend de la personnalité de chacun, mais le sentiment est le même.

Cela explique pourquoi quelqu’un peut cacher sa vraie personnalité, ou carrément s’effacer, autour de certaines personnes.

Se défaire de la peur du jugement des autres est crucial pour vivre une vie remplie de purpose. C’est seulement lorsqu’on se permet d’être 100% soi-même qu’on peut vraiment s’épanouir. Et je dirais même d’atteindre son plein potentiel.

Lorsqu’on se permet d’être soi-même, alors on fait et on dit des choses qui nous tiennent vraiment à coeur. On arrête de faire comme tout le monde. On ne fait pas des choix qu’on est «supposée» faire. Alors on commence à prendre des décisions pour soi, sans égard à ce que les autres peuvent penser. Et lorsque tous nos choix sont alignés avec nos valeurs, alors on peut vraiment s’épanouir.

EXERCICE #1: Mon aisance en situation sociale

Sur une échelle de 1 à 10, à quel point je me permets d’être moi-même (10=100%) dans les situations suivantes: à la maison; en famille; entre amis; au travail; en voyage.

COMPRENDRE LA PEUR DU JUGEMENT DES AUTRES

1. La peur du jugement des autres: un mécanisme de survie mésadapté

Lorsqu’on a peur du jugement des autres, on cherche constamment à être approuvé. Il faut éviter d’être rejeté, à tout prix. On est donc toujours alerte à ce qui se passe autour. On scan constamment son environnement à la recherche de signaux. Les signaux, ce sont les réactions des autres.

Lorsqu’on accorde de l’importance à ce que les gens pensent, on associe faussement leur réaction avec notre valeur. C’est-à-dire qu’on les laisse décider de notre valeur. Alors, leur approbation (ou désapprobation) devient un guide pour nos comportements.

Si on obtient une réaction favorable, on continue le comportement. Cependant, si on obtient une réaction défavorable, on arrête.

Si j’obtiens une réaction positive, alors je suis «assez». Si j’obtiens une réaction négative, je suis inadéquate.

Avec le temps, on a atténué sa personnalité, ou on l’a complètement réprimée. On s’est créé une façade, ou un alter ego.

Ceci est un mécanisme d’adaptation qu’on a appris à l’enfance face à nos figures d’autorité. On a appris à répéter les comportements qui nous récompensent et à supprimer ceux qui nous punissent. C’est comme ça qu’on a survécu à notre environnement en grandissant. Le problème, c’est que ces mécanismes ne sont plus du tout adaptés à l’âge adulte. Cependant, on les possède encore si on ne fait pas un effort conscient pour s’en défaire.

EXERCICE #2: Mes mécanismes d’adaptation

Quand j’étais enfant,

j’étais valorisée/récompensée pour: _______________________
il était inapproprié de: _______________________
je n’avais pas le droit de: _______________________
et j’étais punie pour: _______________________

 

Réflexions de journal pour creuser plus loin:
Est-ce qu’en grandissant, je me sentais libre de m’exprimer? Si non, quelle partie de moi j’ai réprimé? 

2. D’où vient vraiment le jugement

Souvent, les comportements qu’on juge sont ceux qu’on ne se permet pas soi-même. Pour le reste, on a généralement beaucoup de compassion envers les autres. Ou alors, ce qu’ils font nous passe 6 pieds par-dessus la tête.

En réalité, on ne juge personne d’autre que soi-même.

Comprendre ce principe permet de mettre en lumière les côtés de soi-même qu’on aime moins. On peut alors essayer de s’offrir plus de compassion et de cesser d’être trop dur avec soi-même.

Si on était 100% bien avec soi-même, alors pourquoi perdrait-on du temps à juger les autres? Pourquoi ne pas vivre et de laisser vivre? Qu’est-ce que ça peut nous faire que le voisin ait fait ci, que la fille d’un tel ait dit ça… ça n’a tellement pas d’importance. Du moment où ça ne blesse personne, ce que chacun fait ou dit n’est pas de nos affaires.

Nous sommes humains… donc tous profondément un peu pareils. Mais très différents à la fois. Chacun possède ses propres manies, habitudes, comportements, etc. Alors, pourquoi s’attarder à pointer du doigt les différences? C’est une perte d’énergie.

On vivrait dans un monde meilleur si on se concentrait sur nos ressemblances. Mais pour ça, il faudrait que chacun s’élève au-delà de son ego.

Derrière tout jugement se cache l’ego.

Oui, le jugement est très égocentrique. Le jugement n’est qu’une perspective basée sur les insécurités propres de chaque personne.

EXERCICE #3: Mes propres jugements

1. Les 3 comportements que je juge le plus chez les autres sont:

2. Qu’est-ce que je considère inadéquat, et pourquoi je ne me permettrais pas d’avoir ces comportements moi-même?

3. L’empathie pour affronter la peur du jugement des autres

L’empathie aide énormément à vaincre la peur du jugement. C’est grâce à elle qu’on peut réellement s’observer à travers les yeux des autres. C’est-à-dire que, en se mettant dans la peau des autres, on comprend qu’au fond, personne ne nous juge personnellement. Pour moi, ç’a été une révélation.

Cependant, si on veut comprendre la perspective des autres, il est plus facile de le comprendre par rapport à soi-même d’abord. Ensuite, on peut le projeter sur les autres.

Quand on comprend qu’on juge chez les autres les comportements qu’on juge chez soi-même, on comprend que les autres aussi se jugent eux-mêmes à travers nous. Ils projettent sur nous leurs propres insécurités.

L’humain est centré sur lui-même. La majorité du temps, les gens sont trop préoccupés par leur propre image pour réellement se préoccuper de nous.

La peur du jugement des autres vient donc d’une projection de nos propres jugements sur le monde.

En d’autres mots, on peut s’imaginer qu’une personne (autre que nous) a peur du jugement. Donc, si elle nous juge, en réalité elle se juge elle-même. Cela remet les choses en perspective. Ça aide également à arrêter de tout prendre personnel.

En fait, on ne devrait presque jamais rien prendre personnel.

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How to overcome your fear of judgment - the ultimate guide
How to Overcome fear of judgment - an absolute guide

VAINCRE LA PEUR DU JUGEMENT DES AUTRES

Pour vaincre la peur du jugement des autres, il faut arrêter de se juger soi-même.

Cela veut dire s’offrir de la compassion, apprendre à mieux se connaître soi-même, connaître sa valeur, s’accepter soi-même et apprendre à aimer toutes les facettes de sa personnalité. 

 

1. Le sentiment d’être inadéquate

Lorsqu’on a peur du jugement des autres, on se sent souvent inadéquate. On se sent trop ci, trop ça, pas assez ci, pas assez ça. On peut se sentir stupide, ou pas assez intelligente. Trop bruyante, ou pas assez bonne. Trop maladroite, ou pas assez proactive.

Ça peut arriver dans n’importe quelle situation sociale. C’est pire dans certains cas, et avec certains types de personnes. Malheureusement, si on ne brise pas nos patterns, on sera toujours attirée vers le même type de personne.

Arrêter de se sentir inadéquate n’arrive pas du jour au lendemain. Il faut être prête à travailler sur soi-même pour comprendre et briser ses patterns. Il faut apprendre à se connaître et à s’accepter comme on est. Puis, on pourra tranquillement apprendre qu’être soi-même n’a rien d’inadéquat.

Lorsqu’on se sent trop ou pas assez, on se juge soi-même. Ce jugement est ultra destructeur. On ne juge pas seulement nos comportements, mais notre personnalité complète.

Dans les situations où on se sent inadéquate, il faut se rappeler qu’on n’a absolument rien à prouver à personne. C’est difficile, parce qu’on veut montrer aux autres qu’ils devraient nous valoriser.

Essayer de forcer les autres à nous considérer ne fait que drainer de l’énergie.

EXERCICE #4: Mes comportements inadéquats

1. Quels sont mes traits de personnalité que je considère inadéquats? De trop? Pas assez?

2. Quels sont les comportements que je considère de trop, pas assez, inadéquats?

3. Comment est-ce que je peux m’offrir plus de compassion et accepter ces traits à propos de moi?


Réflexions de journal pour creuser plus loin:

De quelle partie de moi est-ce que j’ai honte? Pourquoi? 

2. Le sentiment d’être stupide

Qui ne s’est jamais sentie stupide dans une situation sociale? Entre amis, avec des connaissances, au travail, avec la belle-famille?

L’ironie, c’est que les personnes qui ont peur de paraître stupides sont souvent très brillantes. Les gens pas trop brillants ne se posent même pas cette question.

Ç’a t’est déjà arrivé d’être en situation sociale et de te sentir très petite dans tes culottes? Comme si tu n’étais pas assez intelligente pour côtoyer les gens avec qui tu te trouves. Et je ne parle pas du syndrome de l’imposteur (qui est d’ailleurs tout un dossier en soi). Non, je parle d’être dans une pièce avec des gens qui te font sentir stupides. Je ne pense pas que ce soit conscient ou volontaire, mais ça arrive malheureusement très souvent. hum – patriarchie – hum.

À mon avis, ce sont les gens qui posent des jugements qui ne sont pas très brillants.

Porter des jugements est une preuve de fermeture d’esprit. Les gens les plus intelligents sont très ouverts d’esprit.

 

L’élément clé pour arrêter de penser qu’on est stupide: le laisser aller

Pour arrêter de laisser les autres nous faire croire qu’on est stupide, il faut arrêter d’essayer de convaincre les autres de notre valeur.

On ne changera pas les autres. Il y aura toujours des gens qui portent des jugements et qui se pensent meilleurs que tout le monde. Il faut apprendre à vivre avec. C’est-à-dire, apprendre à ne pas gaspiller notre énergie avec eux. Et, si possible, s’en tenir le plus loin possible.

La clé pour être capable d’ignorer ces gens, ou pour atténuer ce sentiment, est d’être réellement consciente de sa valeur.

Quand on sait profondément ce qu’on a à offrir, notre perspective change complètement. On regarde les gens qui ne nous considèrent pas d’une autre façon. On se dit «tant pis pour eux». Surtout, on ne gaspille pas d’énergie à essayer de les convaincre qu’ils devraient nous considérer.

Lorsqu’on connaît réellement sa valeur, on ne sent plus le besoin de se prouver.

Personnellement, lorsque quelqu’un me fait sentir stupide, je lui laisse croire que je le suis. C’est tellement plus facile. Et les hommes qui essaient de me mansplain? Je les ignore. Ou s’ils jouent au héros et essaient de m’aider (ou de me sauver), je les laisse faire.

Parfois, les hommes pensent que je ne suis pas capable de faire quelque chose par moi-même, souvent physiquement. Alors ils sautent sur l’occasion pour montrer qu’ils sont forts. Honnêtement… tant mieux pour moi. L’autre classique c’est quand ils pensent que je suis ignorante sur un certain sujet. Le football, le surf, la physique, name it…

Dans ma tête, je ris un peu. Et c’est moi qui les trouve un peu stupides de porter autant de jugements. Sorry, not sorry. Le plus drôle, c’est leur réaction quand ils se rendent compte qu’ils m’ont mansplain alors que je connaissais le sujet… peut-être même mieux qu’eux. Qui se sent stupide quand ça arrive?

EXERCICE #5: Mes affirmations positives

Écris 2 affirmations positives à propos de ta personnalité. Pour la première, écris quelque chose qui te rend fière. Pour la deuxième, demande à quelqu’un qui te valorise de te dire ce qu’il ou elle apprécie le plus à propos de ta personnalité.

1. Je suis fière d’être:

2. On m’apprécie parce que:

 

3. Une opinion controversée: Comment réagir au mansplaining

Ça arrive beaucoup aux femmes. On se fait mansplain. Certains hommes assument qu’on est moins intelligente, moins forte, moins cultivée, etc. Alors ils jouent au héros et se placent dans une position de dominance pour impressionner, ou se prouver, ou… je ne sais pas trop pourquoi. Bref, ils ressentent le besoin de nous enseigner des choses.

Mesdames, laissez-les donc faire. Mordez votre langue laissez-les déblatérer en silence. Tout en prenant soin de ne pas réagir. Montrez bien à quel point vous n’êtes pas impressionnée.

Règle générale, plus on réagit, plus on leur donne du pouvoir sur nous.

Sans réaction de notre part, ils vont soit: dire ce qu’ils ont à dire puis changer de sujet, comme des bons machos égocentriques. Cela démontre qu’ils n’avaient aucun intérêt en ce que vous aviez à dire, de toute façon.

Ou bien, ils vont finir par poser une question (plein de suppositions, évidemment). Et là, c’est le parfait moment pour répondre, calmement: j’ai… [joué au football toute ma vie], ou [je suis ingénieure], ou [j’ai déjà fait telle ou telle chose]. Vous voyez le genre.

Puis, regardez-les directement dans les yeux et attendez leur réaction. C’est tout. Sans autre justification.

Pour que ça marche, il faut généralement garder un ton calme et détaché. Si on s’emporte, le typique macho va retourner notre réaction contre nous. Et en plus de nous faire sentir stupide, il va probablement agir comme si on overreact.

>> Lire plus: Comment s’affirmer avec respect devant une remarque déplacée

 

Arrêter d’essayer de se prouver

Personnellement, j’essaie d’arrêter de me prouver avec ce genre de personne. Pourquoi gaspiller son énergie à essayer de les convaincre?

Je m’en sacre qu’ils ne sachent pas que j’ai joué au football toute ma vie ou que je sais comment utiliser une perceuse électrique. C’est pas de leurs affaires. En fait, ils ne méritent même pas de le savoir. S’ils veulent continuer à croire que je suis une demoiselle en détresse, c’est eux les cons. Sorry not sorry.

femme qui conduit une moto_woman driving a motorcycle

Ouais. J’ai totalement transformé ma perspective là-dessus. Avant, j’étais déterminée à prouver ma valeur à des figures d’autorité. Je voulais les convaincre que je vaux quelque chose.

D’ailleurs, une révélation dans mon cheminement de guérison a été de comprendre que j’essayais souvent de prouver ma valeur à des gens égocentriques. Red flag absolu. No wonder why j’attirais juste des gens indisponibles!

Maintenant, je me dis tant pis, ils resteront ignorants. Ou peut-être qu’un jour ils vont voir de quoi je suis capable. Et si ce moment arrive, je serai loin depuis longtemps.

Laisser certaines personnes croire que je suis stupide est une des choses les plus brillantes que j’ai jamais faites.

Honnêtement, on n’a aucun intérêt à côtoyer des personnes qui nous sous-estiment ou qui font des suppositions sur nous. En plus, lorsqu’on arrête de gaspiller de l’énergie avec ce genre de personnes, on attire des gens qui nous valorisent vraiment pour qui nous sommes.

En plus… les gens qui sont réellement brillants et ouverts d’esprit sont intéressés aux autres. Surtout, ils ne jugent pas.

Avec les bonnes personnes pour nous, on n’a rien besoin de prouver. On se sent égaux.

 

À retenir lorsqu’on a le sentiment d’être stupide

    • À chaque fois que quelqu’un te fait sentir stupide: rappelle-toi que tu n’as rien à prouver à personne.
    • À chaque fois que tu te sens stupide en situation sociale: il est plus stupide de rester ignorante plutôt que de poser des questions par peur d’avoir l’air stupide.

4. La face cachée derrière la peur du jugement des autres

Lorsqu’on a peur du jugement des autres, on se crée une double personnalité qu’on croit adaptée aux situations sociales. En fait, elle est plutôt mésadaptée. On ne se permet pas d’être complètement soi-même. C’est-à-dire de montrer certains traits de notre personnalité qu’on croit (faussement) inadéquats.

Une anecdote de voyage

Durant mes voyages, j’ai rencontré beaucoup de femmes avec qui j’ai connecté. Des people-pleaser aussi. Wilma, une allemande que j’ai rencontrée à Hawaii, m’a raconté que sa double personnalité avait un nom. Elle la nomme «Hostess Wilma», cette femme ultra polie qui n’existe que pour servir les gens. Ça m’a fait vraiment rire. C’est drôle, à condition qu’on en soit consciente! J’ai trouvé que c’était une très bonne idée.

Alors, quelle est la face que tu montres pour plaire au monde? Qui est ton alter ego? Quelle est la personnalité que tu t’es créée pour fit in? Qui apparaît automatiquement en situation sociale, quand tu te sens insécure? Donne-lui donc un nom.

EXERCICE #6: Mon alter ego

Mon alter ego s’appelle:
elle apparaît quand:
ses caractéristiques sont: 

 

Réflexions de journal pour creuser plus loin
Qui sont les personnes (ou les types de personnes) avec qui elle apparaît le plus?

CONCLUSION: LES PRINCIPES CLÉS À RETENIR

Plus on apprend à se connaître, plus on apprend à s’accepter. Et graduellement, on peut se défaire de la peur du jugement des autres, parce qu’on s’offre plus de compassion. On apprend à défaire nos idées préconçues. Par exemple, celles liées au fait d’être une femme forte, et on s’accepte pour qui on est.

 

Il faut arrêter de penser que les autres se préoccupent de nous pour arrêter de se préoccuper de ce que les autres pensent de nous.

 

Pour surmonter la peur du jugement, ils faut se défaire des propres jugements qu’on porte envers soi-même.

 

Affirmations à retenir

    • Le jugement n’est qu’une projection de mes propres insécurités sur les autres.
    • Chaque personne se juge elle-même à travers le regard des autres.
    • Les autres sont souvent trop préoccupés par leur ego pour se préoccuper de moi.
    • Lorsque je me sens jugée, c’est parce que je me juge moi-même.
    • Lorsqu’une personne me juge, elle se juge elle-même.
    • Lorsqu’une personne me juge, ça n’a souvent rien de personnel à moi.
    • Le seul jugement qui est personnel est celui que je porte envers moi-même.
    • Les autres sont trop centrés sur eux-mêmes pour se préoccuper de moi.
    • Avec les bonnes personnes, je n’ai rien besoin de prouver pour me sentir valorisée.
    • Les gens bons pour moi n’ont pas besoin d’être convaincus que je vaux la peine.

EXERCICE #7: Mon plan d’action

En te servant de tes réponses aux exercices précédents, choisis une situation récurrente dans laquelle tu te sens souvent jugée. Ensuite, écris la croyance reliée à ton sentiment. Finalement, écris une affirmation à te rappeler lorsque tu feras face à cette situation.

 

Je me sens jugée quand:

Parce que je crois que:

La prochaine fois que ça m’arrive, je vais:

Cela prend du temps, mais la récompense à long terme est énorme. Alors, donne-toi un peu de compassion et commence tout de suite!

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