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10 preuves que voyager en solo accélère le healing (femme)

· + Modèle de journal de voyage ·

Qu’on le veuille ou non, voyager seule est un excellent exercice de développement personnel. Si c’est ce qu’on cherche à faire, on est servie. Si non, ça va quand même arriver. Voici 10 façons dont voyager en solo comme femme accélère le healing.

CONTENU DE CET ARTICLE
10 façons dont le voyage en solo comme femme accélère le healing
1. Surmonter la peur de manquer, FOMO
2. Sortir de sa zone de confort
3. Briser ses patterns
4. Écouter son intuition et se faire confiance
5. Surmonter le people-pleasing
6. Devenir meilleure à prendre des décisions
7. Mettre ses limites
8. Apprendre à s’affirmer
9. Surmonter le sentiment de culpabilité
10. Devenir plus résiliente

Voyager en solo pour le healing: le «slow travel» 

On entend de plus en plus parler de slow travel. Je crois que pour réellement comprendre le sens du slow travel, il faut vivre l’expérience. En particulier en tant que femme qui voyage en solo. Et celles qui ne l’essaient pas manquent quelque chose, big time.

Comme son nom l’indique, slow travel veut dire voyager lentement. Prendre son temps. Ne pas être en mode voir le plus de places en le moins de temps possible. Le but ultime de l’expérience de slow travel est de réellement apprendre à connaître des endroits et les gens. On peut ainsi comprendre et connecter avec sa culture. 

Une des façons dont j’ai moi-même expérimenté le slow travel a été de voyager comme bénévole en échange d’un logement gratuit.

Le contraire du slow travel: la bucket list

Une façon commune de voyager est d’essayer de voir le plus d’endroits possible, en moins de temps possible. Les gens veulent typiquement avoir une photo et cocher les destinations sur leur bucket list.

Ce n’est qu’une façon comme une autre de voyager et je respecte ce choix. Cependant, je pense que les personnes qui voyagent comme ça passent à côté quelque chose. Quand on essaie de suivre des plans stricts, on devient plus soucieux de suivre l’itinéraire qu’à vraiment profiter des endroits qu’on visite.

J’ai beaucoup remarqué ce comportement lors de mes voyages. J’ai travaillé dans des auberges de jeunesse, alors j’ai rencontré BEAUCOUP de voyageurs. De tous genres. J’ai remarqué que ceux qui essaient de tout voir sont en fait stressés de suivre leur itinéraire. Mais surtout, ils ne prennent pas le temps d’apprécier à cause de leur FOMO.

Le FOMO en voyage

Ceux qui planifient le plus de choses possible ont de la difficulté à surmonter la peur de manquer des activités. J’ai observé ça souvent à Hawaï quand j’y ai travaillé; c’est une destination chère mais magnifique, avec tant d’endroits impressionnants à voir.

À Hawaï, les gens prévoyaient en moyenne 2-3 jours par île et s’attendent à ne rien manquer. Pour vrai, ça arrivait tout le temps: les gens me demandaient des conseils sur quoi faire en 2 jours. Le problème, c’est qu’ils s’attendaient à ce que je leur donne une solution pour TOUT voir. Hum, comment dire… va falloir que tu fasses des choix, là.

Certaines personnes n’arrivent pas à accepter qu’elles ne pourront pas tout faire. Peu importe la destination. Ils ont à de la difficulté à accepter qu’elles doivent faire des choix. En donc, laisser aller certaines options sur la liste.

La conséquence ultime est que, quelle que soit l’activité que ces gens finissent par faire, ils ne profitent pas pleinement. Ils restent pris avec la pensée qu’ils sont en train de manquer quelque chose.

En passant, j’ai vécu à Maui pendant presque six mois. Je considère Maui comme ma deuxième maison. Et pourtant, je suis loin d’avoir tout vu. En 6 mois. Et certaines personnes pensent qu’elles peuvent explorer l’île au complet en 3 jours.

Heureusement, voyager en solo comme femme aide à surmonter le FOMO.

En quoi prendre son temps pour voyager en solo comme femme aide le healing

Prendre son temps pour voyager oblige à ralentir, évidemment. Mais au-delà de ça, ça permet de se connecter profondément avec soi-même.

Ça permet d’apprendre à mieux se connaître. D’être vulnérable. Et être vulnérable permet de s’ouvrir aux autres. Et donc, de connecter avec les gens d’autres cultures à un niveau plus profond. Ça change les perspectives et permet d’être plus ouverte d’esprit.

Le cheminement qui vient avec voyager en solo comme femme permet de se développer à un niveau qu’on ne peut pas imaginer.

 

10 preuves que voyager en solo comme femme accélère le healing

Voici les transformations internes qui se produisent lorsqu’on voyage en solo comme femme. L’évolution se produit vraiment plus rapidement lorsqu’on expérimente le slow travel.

Voyager seule en tant que femme mène assurément à faire face à plusieurs défis. On est également très susceptible de vivre beaucoup d’émotions en même temps. Ce qui peut devenir très overwhelming parfois. Mais à long terme, les bénéfices sur la croissance personnelle sont énormes.

1. Surmonter la peur de manquer, ou FOMO

Vivre par FOMO n’est pas un mode de vie durable. Pourtant, il y a tellement de gens pris avec. Des gens qui roulent sur le pilote automatique. Si on ne se débarrasse pas de son FOMO, ou peur de manquer, on reste constamment pris dans sa tête. On n’apprécie pas le moment présent. Ce n’est pas seulement vrai pour les voyages, mais pour toutes les sphères de vie.

Vivre l’expérience du slow travel pour surmonter le FOMO semble contre-intuitif. On aurait tendance à penser que si on prend son temps, on aura le temps de tout voir. C’est vrai, en partie. On a en effet le temps de voir les attractions touristiques principales des guides de voyage. Par contre, une destination a tellement plus à offrir que ses attractions touristiques.

Lorsqu’on prend le temps d’apprendre, plus on en sait, plus on réalise qu’on est ignorant. Il en va de même pour tous les aspects qui entourent le voyage.

Plus on apprend à connaître une culture, plus on réalise qu’il y a encore tant à découvrir sur cette culture.

Par conséquent, on doit abandonner l’idée qu’on va voir tous les moindres recoins de nos destinations voyage. Lorsqu’on voyage seule, surtout en tant que femme, on doit se débarrasser de ce FOMO pour en réellement apprécier nos expériences.

La bonne nouvelle est que lorsqu’on voyage solo comme femme en slow travel, on surmonte naturellement cette peur. Ou du moins, en grande partie.

2. Sortir de sa zone de confort

Voyager en solo comme femme, surtout pour la première fois, fait sortir de sa zone de confort de plusieurs façons.

J’ai beaucoup d’expérience dans le voyage en solo. Malgré tout, je me retrouve encore dans des situations inconfortables en voyage. Eh bien… je deal avec. Comme n’importe quelle autre femme qui va devoir apprendre à dealer avec ces situations. Je ne suis pas meilleure ni plus forte qu’une autre. Certaines expériences me font encore peur. J’ai juste le courage d’affronter mes peurs.

Quand on se retrouve dans des situations inconfortables, on apprend énormément. Tout d’abord, on apprend à se connaître. On découvre aussi comment on réagit en mode survie.

Il y a une leçon à apprendre de chaque situation inconfortable à laquelle on est confrontée. On apprend  soit comment y faire face, soit comment l’éviter la prochaine fois. C’est une étape vraiment importante pour le healing dans le parcours de développement personnel.

Et si tu es une people-pleaser, je t’assure que tu vas te retrouver souvent dans des situations que tu aurais préféré éviter. Au début du moins. Mais tu vas en tirer tes leçons. Parce que viendra un moment ou tu vas  décider que tu ne veux plus tolérer ça. Par conséquent, tu vas tout faire pour briser tes patterns.

3. Briser ses patterns

On vient de dire que sortir de sa zone de confort fait apprendre et se développer. Sortir de sa zone de confort est en fait une étape obligatoire pour briser ses patterns. Pour changer ses patterns, on doit agir différemment qu’à l’habitude. Et ça nous sera probablement très inconfortable à changer.

Nos patterns sont les façons de faire qu’on a appris en grandissant. On les répète encore et encore parce que c’est tout ce qu’on connaît. Les patterns sont confortables parce qu’on y est habituée. Mais confortable ne veut pas dire que c’est bon pour nous, ni sécuritaire.

On peut seulement briser ses pattens si on change la façon dont on prend nos décisions. Lorsqu’on voyage seule comme femme, on doit constamment prendre des décisions. Ce n’est pas toujours facile. Et on ne fait certainement pas toujours les bons choix. Et on paie le prix de chaque mauvaise décision qu’on prend.

Le sentiment de sécurité

Lorsqu’on voyage en solo comme femme, le prix d’une mauvaise décision est souvent le sentiment d’insécurité.

Je ne fais pas référence à des situations qui mettent la vie en danger. Je fais référence à la vie en général. Peu importe où on se trouve, on peut se sentir insécure. On va toujours rencontrer toujours des personnes avec qui on ne se sent pas à l’aise. Avec qui on ne se sent pas en sécurité.

Lorsqu’on voyage seule, on apprend plus vite de ces situations. On réalise très vite que, pour éviter ce sentiment de danger, on doit prendre des décisions différentes. Il faut mettre ses limites. On apprend à reconnaître une dynamique pour ne pas la répéter. Et c’est comme ça qu’on change ses patterns.

Peu importe où on se trouve, les mêmes défis continueront à se présenter sous forme de personnes différentes.

Jusqu’à ce qu’on apprenne la leçon et qu’on change sa façon de prendre des décisions.

Lorsqu’on voyage en solo comme femme, notre priorité est la sécurité. On est un peu en mode survie. Et en mode survie, on est très à l’écoute de notre instinct. Il est alors plus facile d’écouter son intuition, ou son gut feeling.

4. Écouter son intuition et se faire confiance

Lorsqu’on voyage en solo comme femme, on sort constamment de sa zone de confort. On est en mode survie et on veut se sentir en sécurité. Par conséquent, on est beaucoup plus susceptible d’écouter son intuition.

Notre intuition parle plus fort lorsqu’on se retrouve seule en voyage. En fait, peut-être qu’on lui donne juste plus d’espace. On est habituée à taire nos gut feelings lorsqu’on est en territoire connu, c’est-à-dire chez nous. Partir de chez soi, sortir de sa zone de confort, donne naturellement envie d’écouter ce que notre corps nous dit.

En voyage, la conséquence de ne pas écouter son intuition est l’inconfort. Et la plupart du temps, l’inconfort place dans une position très vulnérable. Ça ne veut pas dire qu’on met sa vie en danger. Mais ce n’est certainement pas le meilleur pour soi. La plupart du temps, l’inconfort qu’on vit est directement relié aux les personnes avec qui on choisit de passer du temps.

On réalise que si on n’écoute pas son intuition, on ne se choisit pas. Et quand on ne se choisit pas, c’est qu’on on essaie de plaire aux autres. Ce qui m’amène au prochain avantage de voyager seule en tant que femme dans un contexte de développement personnel: surmonter le people-pleasing.

5. Surmonter le people-pleasing

Lorsqu’on voyage longtemps, et surtout en slow travel, à un moment donné on doit arrêter de prendre des décisions pour les autres. Ainsi, lorsqu’on voyage en solo comme femme, on vit les mêmes hauts et bas qu’on vit chez soi. À chaque mois, chaque semaine et chaque jour. Même si tout semble irréel, la terre n’arrête pas de tourner parce qu’on voyage.

Lorsqu’on voyage pendant longtemps, on ne peut pas toujours fonctionner à pleine vitesse. À un moment donné, on a besoin d’une pause. On DOIT ralentir (même si notre but n’est pas de vivre l’expérience du slow travel). Nous a besoin de passer du temps seule. On doit se recentrer et se connecter avec nous-mêmes.

Peut-être que tu n’es pas d’accord. Peut-être que tu te4 dis, ouais mais moi quand je voyage pendant 2-3 semaines, j’aime faire le plus de choses possible. Je suis pleine d’énergie; je me lève tôt et je fais des activités à tous les jours. C’est vrai. Quand on peut enfin prendre nos 2-3 semaines de vacances par année, on est sur un hype. Mais à quel point on se sent épuisée à la fin, en revenant? Exactement.

On ne peut pas avancer à pleine énergie pendant très longtemps sans s’épuiser. 

Prendre du temps pour soi

L’ironie de voyager en solo comme femme est qu’on est toujours entourée. Il y aura toujours des distractions. Si on ne se force pas à prendre du temps pour soi, on se retrouve à toujours faire quelque chose. Peu importe où on décide d’aller, on rencontrera des nouvelles personnes. Il y aura toujours des nouveaux endroits à visiter, des nouveaux plats à goûter et des nouvelles activités à essayer.

Donc, pour pouvoir recharger nos batteries, on doit être capable de se choisir. Ça veut dire arrêter de prioriser les autres. On doit prendre des décisions en fonction de ses propres préférences, humeur et parcours. Pour vivre l’expérience du slow travel à son maximum, il faut surmonter le people-pleasing.

La bonne nouvelle est qu’il est plus facile de surmonter le people-pleasing avec des étrangers qu’avec des personnes qu’on connaît depuis longtemps.

6. Devenir meilleure pour prendre des décisions

Ok, on a dit que les voyages aident à faire face au FOMO, à se connecter à son intuition et à surmonter le people pleasing. Ce kit complet aide automatiquement à prendre plus de décisions pour soi-même. Et, comme tout le reste, plus on pratique, meilleur on devient.

Dure vérité: lorsqu’on est une people-pleaser, on laisse les gens prendre des décisions à notre place. C’est plus facile. On a peur de faire un mauvais choix, alors on n’assume pas la responsabilité des décisions. Au moins, si ce n’est pas la bonne, ce n’est pas de notre faute.

Lorsqu’on a tendance à se sentir inadéquate, on est réticente à prendre des décisions. On pense que prendre une mauvaise décision ferait de nous quelqu’un d’inadéquat. Ou, en tant que people-pleaser, on est incapable de prendre des décisions qui ne plaisent pas à TOUT LE MONDE. Alors, on laisse les autres décider.

Au lieu de se demander ce qu’on veut vraiment, on se demande ce que LES AUTRES veulent. On veut fit in, être acceptée. Alors nos préférences sont les préférences du groupe.

Voyager en solo comme femme, en particulier en slow travel, oblige à prendre des décisions. On n’a pas le choix. Ça ne veut pas dire qu’on prendra toujours les bonnes. Évidemment que non. Mais justement, on apprend à gérer ses mauvaises décisions. Plus important encore, von apprends que c’est correct de prendre une mauvaise décision. Et que les gens ne nous aimerons pas moins pour ça.

7. Mettre ses limites

Pour mettre ses limites, il faut les connaître. Il faut savoir ce qu’on veut et ce qu’on ne veut pas. On doit être consciente de ce qu’on est prête à tolérer.

Lorsqu’on voyage en solo comme femme, on se retrouve dans des situations inconfortables. Et si on n’apprend pas à mettre ses limites, on répètera les mêmes erreurs encore et encore. Jusqu’à ce qu’on apprenne de nos erreurs et qu’on change.

On a déjà abordé le sentiment d’insécurité. Lorsqu’on voyage en solo comme femme, il suffit de quelques situations où on se sent insécure pour apprendre la leçon. Un des meilleurs moyens d’éviter les situations inconfortables est de mettre ses limites.

Exemple personnel

Voici un exemple d’une limite que j’ai établie après avoir appris de mes erreurs en voyage. Si souvent j’ai dit oui à quelqu’un qui suggérait de partir à l’aventure. À chaque fois, je me disais que ça allait être cool. Tout en ignorant complètement mon feeling bizarre à propos de cette personne. Comme de fait, je me retrouve inconfortable pendant toute la durée de l’activité. Et je n’apprécie pas pleinement l’aventure.

Je l’ai appris à la dure. Et je ne suis certainement pas la seule qui se retrouve dans ce genre de situation. Parce qu’on ne veut pas tolérer l’inconfort de dire non. À la place, on tolère une situation inconfortable pendant des heures. C’est le prix à payer pour ne pas mettre ses limites.

Donc, voici maintenant la limite personnelle que j’ai établie pour moi-même: pour voyager en solo comme femme, je ne fais pas d’activités avec un homme qui ne me fait pas sentir confortable (peu importe à quel point l’activité est cool).

En d’autres termes, je choisis ma paix intérieure plutôt que la peur de manquer quelque chose (fomo).

8. Apprendre à s’affirmer

Mettre ses limites est une partie importante du healing. Mais apprendre à bien le faire prendre du temps et de la pratique. Envoyer des signaux pour montrer ce qu’on veut est très différent de l’exprimer clairement.

Exprimer ce qu’on veut est difficile. Exprimer ce qu’on ne veut pas, encore plus. Et on ne parle même pas de s’exprimer directement et clairement, imagine. Apprendre à s’affirmer directement et avec respect est un gros défi à relever.

Lorsqu’on vit l’expérience du slow travel, en particulier en tant que femme seule, on doit s’affirmer avec des personnes qu’on vient juste de rencontrer. Puisqu’il y a une distance émotionnelle avec ces gens, c’est beaucoup plus facile. La peur du rejet est moindre parce qu’on a moins à perdre si ça tourne mal. On peut alors se pratiquer et nécessairement devenir meilleure avec le temps.

Se pratiquer à s’affirmer

Lorsqu’on apprend à s’affirmer, on fait des erreurs. Parce qu’on ne sait pas comment faire. Ça se peut qu’on soit bête, distante, trop gentille ou pas assez claire. Mais essayer est la meilleure façon d’apprendre. On peut toujours faire mieux la fois d’après.

Quand on part de zéro, c’est-à-dire sans limite personnelle, il peut être difficile de s’affirmer avec des personnes proches de nous.

C’est dur de mettre des nouvelles limites avec des proches. On a peur que les gens se demandent pourquoi on a soudainement changé. Qu’ils ne nous reconnaissent pas. On se sent un peu imposteur. 

On imagine que si on commence à établir des « nouvelles » limites avec des personnes qui nous connaissent, elles pourraient arrêter de nous aimer.

Ce qui n’est évidemment pas vrai. Si on choisit bien les gens qui nous entourent, ces derniers vont respecter nos limites. Sans nous faire sentir coupable de les mettre.

9. Surmonter le sentiment de culpabilité

La culpabilité est souvent l’un des sentiments qu’on doit surmonter pour guérir. En apprenant à surmonter le people-pleasing, on apprend à se débarrasser de la culpabilité qui l’accompagne. Plus on se pratique à se choisir, moins on se sent coupable de le faire. Voyager en solo comme femme facilite ce processus.

Les people-pleasers ont tendance à toujours se sentir mal pour les autres. Le sentiment de culpabilité est un énorme obstacle quand vient le temps de se choisir. Si on ne sent pas qu’on vaut la peine d’être aimée, on peut penser que le prix à payer est le rejet.

Ce sentiment est moindre en voyage. Les enjeux ne sont pas aussi importants qu’avec des personnes proches de nous.

La peur d’être rejetée par un étranger est beaucoup plus supportable que la peur d’être rejetée par un ami.

Le sentiment de culpabilité envers les étrangers est donc beaucoup moindre que le sentiment de culpabilité envers un ami. Voyager en solo comme femme force à se choisir pour se sentir en sécurité.

On doit faire le choix entre se sentir coupable mais en sécurité ou se sentir confortable mais insécure.

10. Devenir plus résiliente

Le dernier mais non le moindre: l’expérience de slow travel en solo comme femme seule rendra plus forte et plus résiliente.

La résilience consiste à surmonter les obstacles de manière constructive. Il n’y a pas de meilleur moyen de renforcer la résilience que de sortir de sa zone de confort et de faire face aux obstacles de la vie.

Les situations chiantes en voyage

En voyage, shit happens. Et lorsqu’on voyage seule, on n’a pas le choix de dealer avec, seule. Ok, je ne veux faire peur à personne ici: il y aura toujours des gens autour pour aider. Mais la vérité est qu’on fait face à des situations de merde parfois et on doit les affronter seule. Comme un vol d’avion en retard qui nous fait manquer le prochain, par exemple.

Si tu voyages avec de l’anxiété, tu vas apprendre à dealer avec. Si tu as tendance à avoir le FOMO, tu vas devoir dealer avec. Ou bien si tu as tendance à prendre des mauvaises décisions, tu vas devoir t’améliorer. Tu vois le genre.

Voyager en solo comme femme inévitablement fait vivre des moments difficiles. Mais ces moments sont ce qui rend plus forte. Parce qu’on apprend.

D’abord, on apprend qu’on est plus forte qu’on le pensait. On apprend qu’on peut tout surmonter. On apprend comment rester positive dans les moments difficiles.

Les hauts et les bas sont normaux. Les émotions sont temporaires et comme femme forte on est capable d’y faire face.

Voyager en solo comme femme fait sortir de sa zone de confort juste assez pour renforcer la résilience. Tout en créant les meilleurs souvenirs à vie.

Conclusion: voyager en solo comme femme pour accélérer son healing

Voyager en solo comme femme, particulièrement en slow travel, oblige à creuser plus profondément à l’intérieur de soi. Qu’on recherche à se développer et guérir en voyage ou qu’on veuille simplement explorer le monde. En voyage solo, on doit faire face à soi-même.

Voyager est incroyable. C’est la plus belle façon d’ouvrir son cœur et son esprit au monde. Mais parfois, c’est difficile. Mais tu es plus forte que tu ne le penses. Alors pars explorer le monde et ne laisse pas tes peurs t’arrêter… parce que tu vas manquer quelque chose (😉).

Voyager est une opportunité magique de grandir en tant que personne et d’entrer en contact avec soi-même, no shame.

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10 Ways Traveling Solo help women heal faster
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